
Monsieur Cherfaoui,
Dans votre billet publié par Le Matin d’Algérie, vous avez pris soin de transformer une séquence diplomatique somme toute banale en une fresque grandiloquente sur la soumission postcoloniale, prenant pour cible le président mauritanien comme s’il incarnait à lui seul l’humiliation de tout un continent.