Ould Abdel Aziz a finalement (dés)organisé « son »referendum.
Après le coup de sabot lancé, aux amendements constitutionnels, par le Sénat, les renvoyant, sans autre forme de procès, à leur expéditeur, notre guide éclairé tenait à cette consultation populaire, pour « laver son honneur » terni par une bande de « corrompus », comme il se plaisait à appeler les honorables de la Chambre haute.