
Ahmed Mahmoud Ould Chamekh, mauritanien, la trentaine, n’y va pas par quatre chemins pour accuser les services de la gendarmerie de l’avoir torture pour avouer des liens prétendus avec deux personnes recherchées.
Selon la victime qui a décidé de publier son témoignage sur les réseaux sociaux, il aurait été interpelé par des gendarmes la veille avant d’être sévèrement battu sur une fausse présomption.