Selon l’évaluation régionale "Afrique" de la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) approuvée le 23 mars à Medellin, en Colombie, ce sont plus de 50% des espèces d’oiseaux et de mammifères qui pourrait être amené à disparaître d’ici à 2100, à cause de l’activité humaine, si rien n’est fait pour inverser les tendances actuelles.
Le Portugal a réussi à utiliser uniquement des énergies renouvelables pendant un mois. Un bel exemple !
LE PORTUGAL A DÉPASSÉ LES 100% D’ÉNERGIES RENOUVELABLES
Il y a un an, le pays atteignait tout juste 6% d'énergies renouvelables. Un bond spectaculaire qu'on doit à l'essor de l'hydroélectrique et de l'éolien.
La désertification s’accélère en Afrique. Selon une récente étude de l'Université du Maryland, la surface du Sahara s’est étendue de 10%, depuis 1920, grignotant peu à peu les terres qui le bordent au nord et au sud.
L’étude publiée, fin mars, dans le Journal of Climate précise que cette extension s’explique par la baisse de la pluviométrie, indiquant qu’une zone se transforme en désert lorsqu’il y pleut moins de 100 mm d’eau par an.
Le 15 mars dernier à Dakar le projet de renforcement des capacités pour la conservation et le suivi des oiseaux le long de la côte de l’Afrique de l’Ouest (DIOE) a été lancé. Le projet veut essentiellement créer des conditions qui peuvent permettre aux Etats de la sous-région de protéger et de conserver les oiseaux d’eau. Le projet se déroule jusqu’en 2020 et est mis en œuvre en Mauritanie, en Guinée Bissau, au Sénégal et en Gambie.
Notre pays a signé, mardi soir à Nouakchott, un protocole d'accord relatif à la conservation de la nature avec l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).
Le protocole d'accord a été signé côté mauritanien par le ministre de l’environnement et du développement durable, M. Amédi Camara, et côté UICN, par sa directrice générale, Mme Inger Andersen.
Les travaux de l’atelier technique de validation des inventaires et études sur l’état des lieux de la question des polluants organiques persistants (POPS) organisé par le ministère de l’environnement et du développement durable, en collaboration avec l’organisation des Nations unies pour le développement et l’industrie (ONUDI) et la Convention de Stockholm sur les POPs, ont démarré mardi à Nouakchott.
Le jeudi 9 janvier 2018, le fondling fiduciaire pour le Banc d’Arguin et la Biodiversité Côtière et Marine (BACoMaB) a signé deux conventions de financement au profit des Aires Marines et Côtières Protégées de Mauritanie pour un montant total de 392.300 euros, soit environ 16,5 millions MRU (165 millions MRO).
Interdite depuis quelques années pour cause de dangers sur l’environnement, la question de l’utilisation des sachets plastiques se pose de nouveau devant l’assemblée nationale mauritanienne.
SAR la Princesse Lalla Hasnaa a prononcé un discours d’ouverture de cette journée dédiée à l'éducation portée par la CCNUCC durant la COP23, en présence de Mme Patricia Espinosa, M. Shyamal Majumdar, Directeur du Centre international UNESCO-UNEVOC pour l’enseignement et la formation techniques et professionnels ainsi que de Mme Mereseini Vuniwaga, ministre de la Femme, des Enfants et de la Réduction de la Pauvreté des Iles Fidji.