
Le Calame - Depuis l’ouverture de son procès le 25 Janvier dernier, Ould Abdel Aziz doit se faire du mouron.
Il n’imaginait sans doute pas que le processus engagé avec la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire, allait, deux ans plus tard, le voir assis sur le banc des accusés comme un vulgaire chef de bande pris la main dans le sac.