La recrudescence des activités de fausse pêche dans nos eaux territoriales du poisson pélagique notamment par les bateaux turcs suscitent beaucoup d’interrogations parmi les acteurs du secteur, constate-t-on ces derniers temps.
Rien à faire, l’image de notre pays n’inspire pas les analystes au regard des classements des experts économiques. Le dernier rapport 2016 du Magazine spécialisé Forbes vient encore enfoncer le clou.
En dépit donc des allégations de notre ministres des finances qui n’a trouvé que l’impôt à tour de bras au grand dam des citoyens, le climat des affaires en Mauritanie est parmi les pires dans le monde.
#Mauritanie : Prévu þn 2016, puis repoussé à début 2017, le référendum populaire en vue de l’approbation de la modiþcation d’une série de réformes constitutionnelles en Mauritanie þnalement annulé. A la place, les deux chambres décideront. Toutefois, la justiþcation avancée ne convainc pas les Mauritaniens.
Ould Abdel Aziz l‘a dit à des sénateurs qui, eux, n’ont pas manqué de le répéter : «Vincent Bolloré m’a proposé dix millions d’euros pour que je lui confie la gestion du Port autonome de Nouakchott et j’ai, bien entendu, refusé ». Alors qu’il parlait du referendum et de la suppression du Sénat, notre guide éclairé est sorti brusquement du sujet. Pour dire combien le pouvoir est tentant ? Ou pour démontrer qu’il est, lui, incorruptible ?
Cette affaire risque de donner des cheveux blancs à Macky Sall. Alors qu'il est très critiqué par l'opposition à propos du pétrole découvert au Sénégal, la Mauritanie ouvre un autre front.
Les fins d’années étant par nature synonymes de bilan, celui du régime de Mohamed Abdel Aziz aurait laissé, aux yeux d’une partie de l’opposition mauritanienne, un lourd passif fait de pillage systématique des ressources, sur fond de crise politique savamment entretenue.
Si ce n’est pas le cas, visiblement, en Arabie et dans des pays producteurs occidentaux, le pétrole apparaît comme une malédiction pour les pays africains, on le découvre. C’est ce que le commun des mortels Mauritaniens et Sénégalais craignent.
Des dizaines de véhicules et leurs occupants sont coincés depuis deux jours au poste frontière d’entrée en provenance de Dakhla, apprend-on de source sur place.
Selon la même source, le blocage des passagers dont des touristes se rendant en Mauritanie a pour origine un défectuosité du système informatique utilisé par les administrations publiques locales (police, douanes, agence nationale des titres sécurisés).
La société malaisienne Petronas qui veut se retirer du puits pétrolier de Chinguetti (champ offshore à 65 kilomètres de Nouakchott) en 2017 doit encore patienter.
L'Assemblée nationale a approuvé au cours de ses réunions plénières entamées samedi soir et clôturées tard dans la nuit, sous la présidence de son président M. Mohamed Ould Boïlil, le projet de loi des finances initiale pour l'année 2017 qui s'équilibre en recettes et en dépenses à 461.439.375.000 UM (Quatre cent soixante et un mille quatre centre trente neuf millions trois cent soixante quinze mille ouguiyas).