Les opérations de vote pour les élections législatives, régionales et municipales en Mauritanie ont débuté ce samedi mettant en lice 100 partis politiques pour s’arroger les voix des 1400663 électeurs inscrits sur les listes électorales.
A la veille de la campagne des élections de 2018 à Zouerate, l’Administrateur Directeur Général de la SNIM a, par note 064/18 du 15/08/2018 à diffusion générale, signifié la stricte neutralité de la SNIM vis-à-vis des candidats, précisé qu’elle s’interdit la participation aux campagnes électorales et ordonné que ses moyens ne soient pas utilisés dans ce cadre.
Les autorités mauritaniennes ont empêché mardi la tenue d’un meeting dans l’ancienne enceinte de l’aéroport qu’envisageait d’organiser la liste de l’alternance démocratique, candidate pour le conseil régional de Nouakchott.
Dans un « appel à la résistance contre la tyrannie » qu’il vient de lancer, l’opposant et homme d’affaires mauritanien, Mohamed Ould Bouamatou, a tiré à boulets rouges sur la gouvernance du président Mohamed Ould Abdel Aziz et ses velléités de briguer un 3e mandat.
En Mauritanie, alors que les 98 partis politiques en lice pour les législatives et locales du mois prochain poursuivent leur campagne, l’éventualité d’un troisième mandat pour le président Mohamed Ould Abdel Aziz s’est invitée dans le débat le 24 août dernier lors d’un rassemblement dans le sud du pays.
La liste du changement démocratique a organisé un meeting populaire dans la moughataa de Toujounine, le jeudi 24 /08/2018. En présence de plusieurs cadres et militants des partis qui forment la liste. Certains de ces cadres ont pris la parole devant les militants et sympathisants.
Après avoir juré en public de respecter la Constitution, le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel, a« violé son serment en parlant de troisième voire même de quatrième mandat », selon Mohamed Mahmoud Ould Saydi, chef du parti d’opposition Tawassoul.
Le 21 juin 2014, vers 13h, juste après avoir voté et lu ma déclaration à la presse, je m'apprêtai, seul, au repos mais mon téléphone sonna. Au bout du fil, une personne très proche du chef de l'État, mon concurrent et candidat à sa propre succession, m’interpelle sans aménité :