
Partira, ne partira pas. A un an de la fin du second mandat de Mohamed Ould Abdelaziz, le doute s’installe à nouveau sur les intentions de l’homme qui préside aux destinées de la Mauritanie depuis août 2008.
Beaucoup pensent que les appels demandant au président Aziz de rester au pouvoir, au-delà de 2019, sont « autorisés » par celui qui a toujours affirmé pourtant qu’il quittera la présidence à l’issue de son second mandat.