Le chef d’état-major des armées mauritaniennes, le général Mohamed Cheikh Mohamed Ahmed Ould Ghazwani (Gauche), "répond aux critères" fixés par Mohamed Ould Aziz pour son dauphin à la tête de l’Etat, a confié une source politique à Alakhbar.
Le départ des pêcheurs de Guet-Ndar et la mise à l'arrêt de leurs pirogues travaillant sous licences mauritaniennes commencent à impacter le quotidien des Nouakchottois.
Quatre mauritaniens ont été enlevés en début du présent mois alors qu’ils se trouvaient à l’est du pays, aux environs de N’Beikett Lehwaach, dans une région frontalière avec le Mali. Depuis, aucune nouvelle d’eux. Depuis, les informations sont nombreuses sur l’identité de leurs ravisseurs.
La Chambre criminelle de la cour d'appel de Nouakchott a condamné à mort, la prévenue Khadija Mint Mohamed Vall, accusée d’avoir tué son mari feu Mohamed Ould Lehouar, avec la complicité de son amant.
La condamnée, avait, selon le prononcé de justice, participé au meurtre et dissimilé le crime, selon les faits, afin de se débarrasser de son époux et de vivre avec son amant.
L’Association Mauritanienne pour la Santé de la Mère et de l’Enfant (AMSME), présidée par Zeinabou Mint Taleb, par ailleurs « Femmes de Courage 2016 » d’après une distinction de l’Ambassade Américaine dans notre pays, se consacre depuis près de 17 ans à la lutte contre les violences sexuelles en particulier et la protection des femmes et des enfants en général.
Le tabloïd Alakhbar a publié, dans son édition du mercredi 8 février courant, quelques noms, de personnalités influentes de l’Etat dont des proches du Président mauritanien, qui, malgré leur retraite de la fonction publique, continuent d’exercer d’autres fonctions ou bénéficient de privilèges plus importants.
Le gouvernement est prévenu et leur patience a des limites : les sages-femmes menacent d'aller en grève. Mardi, 07 février, elles ont poussé lors d'une conférence de presse un grand coup de gueule.
«Pour la campagne agricole 2016, les deux périmètres rizicoles de Kaédi, PPGI et PPGII, qui couvrent plus de 3000 hectares et qui constituent l’unique source de revenus de la majorité de cette ville située au sud de la Mauritanie, au bord du fleuve Sénégal, n’ont pas été exploités. Cette situation expose environ 15 000 ménages à une crise alimentaire… ».