Dans le cadre de leur mouvement de protestation et de réclamation de leurs droits, les crénciéres de Cheikh Aly Ridha ont organisé ce jeudi matin, un sit-in, devant les grilles de la présidence de la république.
Alors que le président Aziz quitte le pouvoir début aout pour laisser la place à son successeur élu, le général Ghazouani, la répression est brutale en Mauritanie pour briser la contestation qui a marqué les lendemains de l’élection présidentielle du 22 juin.
Le président français Emmanuel Macron a exprimé « l’engagement ferme » de son pays aux côtés de son nouvel homologue mauritanien, le président élu Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dans les défis sécuritaires et économiques de la région du Sahel, rapporte l’Agence mauritanienne d’information (AMI, officielle) reçue à APA.
L'opposition mauritanienne a convenu de renoncer à l’arrêt de toute manifestation, avant l'investiture du nouveau Président élu Mohamed Ould Ghazouani, ont révélé des sources.
Le ministre de l’économie et finances, le tout puissant Moctar Ould Diay a refusé le payement des pensions des retraites des anciens sénateurs. C’est ce qu’a affirmé une source proche de ces derniers.
L’ancien directeur de radio-mauritanie, Abdellahi Ould Hormatallah, auquel l’IGE réclamait plus de cent millions d’ouguiyas (anciens) dans ce qui est considéré comme l’un des scandales financiers les plus retentissants va-t-il échapper à la justice, après l’affaire de la Tvm ?
Les cordons sécuritaires déployés autour des quartiers périphériques de Nouakchott, au lendemain du scrutin présidentielle du 22 juin, ont été levés mardi.
Plusieurs quartiers dont Sebkha, El Mina et Riyadh d'où étaient partis la contestation du scrutin présidentiel étaient jusqu'ici quadrillés par des éléments des forces armées et de sécurité lourdement armées.
Un journaliste de télévision mauritanien arrêté le 3 juillet, Ahmed Ould Wediaa, a été libéré ce lundi, a-t-on appris auprès de la police et de sa famille.
Le Parlement mauritanien a rejeté un ensemble de propositions soumises par deux députés à l'Assemblée nationale et relatifs au projet de loi rectificative 2019, débattu mercredi 10 juillet dernier.
La commission des finances du Parlement avait reçu auparavant quatre nouvelles propositions sur ledit projet de loi, à l’occasion de son examen technique, avant d'être présenté en séance plénière.